● I . P e r s o n n a g e ,

● N o m :


• Humain : Shayn Perez.
  Un prénom hors du commun contre un nom banal.
  Chat : Songe d’Impromptu


● Â g e :


• 18 ans et 3 mois.
  34 lunes.


●S e x e :


• Féminin.


● P a s s i o n :


• Piano


● M é t i e r


• Professeur de piano au Conservatoire, et à domicile pendant ses heures libres.


● N a t u r e :


• Secte
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Physique.

• En un regard elle vous cloue sur place, face à ses yeux d’un vert sûrement unique au monde, vous vous sentez minuscule, méprisé, incapable. Chaque parcelle de ses yeux révèlent un infini mystère. Ses pupilles d’un noir profond s’harmonisent avec l’océan de son regard. Rien que ses yeux sont en eux-mêmes une œuvre d’art. De plus, les fins cils lui donne sans qu’elle s’en rende compte du charme.
  Elle sait tout faire de ses yeux. Rire à travers eux, vous submergeant d’une vague de bonheur. Aimer, faisant frissonner votre cœur. Tuer, vous glaçant sur place, détester vous rendant vulnérable. Surprendre, vous laissant ébahie. Admirer, vous rendant plein de fierté. Regarder, rendant le monde d’un jour nouveau, rendant chaque détail quasi inutile, essentiel. Rendant les mauvaise choses admirables. De ses yeux, elle transforme le monde, elle envoûte, elle aime, elle vit.
  
  Ses cheveux, d’un beau brun aux multiples reflets roux descendent en cascade autour de son fin visage en forme de cœur et de son cou pâle. Mi-longs, ils sont légèrement bouclés. Elle les laisse souvent tomber sur ses épaules ou attacher en une queue de cheval. Sa chevelure est aussi soyeuse, mais graisse plutôt vite, lui nécessitant un entretien rigoureux qui l’énerve au plus haut point, n’étant pas coquette de nature.
  
  Sa peau est assez pâle, mais lorsqu’elle est heureuse, prise sous le froid ou en larmes, ses joues prennent une légère teinte rosée, ce qui lui donne un air de pauvre petite fille perdue qui l’agace au plus haut point. Ayant subit une très forte acné lors de ses 13 ans, elle garde à présent une ou deux marques de cette période difficile, bien qu’à présent sa peau soit aussi lisse que le marbre. Bien proportionné son visage est ornée de deux magnifiques yeux, d’un beau nez aquilin et d’un bouche aux lèvres rouges et aux contours bien tracés, ses oreilles, très légèrement décollés sont souvent caché par son épaisse chevelure.
  
  Quand elle ne fait rien, ou qu’elle a un ton neutre, on a l’impression qu’elle est triste, sûrement à cause de ses yeux tombant naturellement.
  Petite de nature, elle est fine et gracieuse.
  
  Elle ne veut pas s’en rendre compte, mais elle est belle. Elle ne veut pas l’admettre, mais beaucoup se retourne dans la rue sur elle.





• De ses pattes fines, au bout arrondies, elle ressent les pulsations de la Terre. Elle ressent sous ses coussinets d’un rose un peu sali, les cailloux des sentiers, la rosée du matin, la terre des champs, l’herbe des prairies, le sable de son camp, la mousse de son lit, l’eau de la rivière. C’est à travers ses majestueux postérieurs et antérieurs qu’elle ressent. C’est grâce à eux qu’elle peut courir, le vent lui coupant le souffle, qu’elle peut marche, savourant les odeurs de la natures.
  Ses pattes, longues, souples, musclés, ou tout est courbe sont longues par rapport à sa taille. Ce qui est un avantage et un inconvénient.
  
  Son corps, d’une souplesse caractéristique des félins est musclé, on voit d’ailleurs ses muscles saillants rouler sous sa peau lorsqu’elle marche. Son corps donc, bien proportionné et équilibré est orné d’une somptueuse fourrure crème, soyeuse, propre aux léger reflet roux au soleil et ornée de quelques rayures aux tons plus foncés, bien que le crème soit dominant. Sa queue, longue et panaché a un bout arrondi.
  
  Sous sa forme féline, elle était tout de même ravissante, bien qu’elle soit moins fine qu’en Humaine. En effet, tout chez elle est de rondeur, mais cela lui donne un charme attendrissant. Ses yeux sont pareils qu’en Humain. Irréel, magnifique et infini. Ses longues vibrisses plus couramment appelés moustaches lui permettent de ressentir, comme tous ses congénères, les présences d’autre êtres dans les parages, même c’est souvent son odorat qui les repère avant
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